Après les conclusions de l'étude réalisée par Robert Howarth de Cornell University en septembre 2010 mettant en cause la réalité du bilan carbone de l'exploration du gaz de schiste et concluant que "l’empreinte carbone de cette filière serait plus élevée que celle du charbon", une nouvelle étude réalisée par des universitaires de Duke vient s'ajouter à ce bilan peu glorieux.
Cette fois-ci les conclusions portent sur la pollution des nappes phréatiques par le méthane libéré lors de la fracturation de la roche.
Vous pouvez d'ailleurs consulter l'intégralité de cette étude grâce à un lien accessible dans un autre billet (en date du 9 mai).